punitla faute des pĂšres sur les fils et sur les petits-fils jusqu’à la troisiĂšme et Ă  la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration » (Ex. 34 : 6-7). ART. 02 La RĂ©vĂ©lation C’est ce Dieu qui se fait connaitre aux hommes : PremiĂšrement, par ses Ɠuvres, aussi bien par leur crĂ©ation (1) que par leur conservation et la maniĂšre dont Il les conduit (2). DeuxiĂšmement, et plus clairement encore, par sa Limportant est que Dieu reste fidĂšle sur mille gĂ©nĂ©rations (il n'y en a pas eu autant depuis que l'humanitĂ© est consciente !), c'est-Ă -dire jusqu'Ă  la fin du monde, en permanence. En face de ça, punir la faute des pĂšres sur les fils sur trois ou quatre gĂ©nĂ©rations n'est qu'un artifice de style, sans doute choquant mais pas significatif. JĂ©sus a dĂ©finitivement dĂ©samorcĂ© cette Lelien et la continuitĂ© entre les pĂšres et les fils entraĂźne aussi des retombĂ©es nĂ©gatives : Il inspecte la faute des pĂšres chez les fils sur trois et quatre gĂ©nĂ©rations. [Exode 20, 5] Les pĂšres ont mangĂ© des fruits verts, et les dents des fils seront agacĂ©es. [JĂ©rĂ©mie 31, 29] On objectera : est-il Continuer la lecture de « 2.3. « Il inspecte la faute des pĂšres chez les Ila dit : 6 » ‘*Je suis l'Eternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir d'Egypte, de la maison d'esclavage. 7 » Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi. 8 » Tu ne te feras pas de sculpture sacrĂ©e ni aucune reprĂ©sentation de ce qui est en haut dans le ciel, en bas sur la terre et dans l’eau plus bas que la terre. 9 » Tu ne te prosterneras maisne laisse rien passer, car il punit la faute des pĂšres sur les fils et les petits-fils, jusqu’à la troisiĂšme et la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration. » AussitĂŽt MoĂŻse s’inclina jusqu’à terre et se prosterna. Il dit : Le Seigneur parlait avec MoĂŻse face Ă  face | 2 2 « S’il est vrai, mon Seigneur, que j’ai trouvĂ© grĂące Ă  tes yeux, daigne marcher au milieu de Ilgarde son amour jusqu’à 1000 gĂ©nĂ©rations, Il pardonne la faute, la rĂ©volte et le pĂ©chĂ©, mais il ne traite pas le coupable en innocent et punit la faute des pĂšres sur les enfants et les petits-enfants jusqu’à la troisiĂšme et la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration ! (Exodus 34:5-7) (Dieu pardonne l’iniquitĂ©, Il pardonne les actes injustes, mais les consĂ©quences nĂ©gatives peuvent se etle pĂ©chĂ©, mais qui ne tient pas le coupable pour innocent, et qui punit la faute des pĂšres sur les fils et sur les petits-fils jusqu’à la troisiĂšme et Ă  la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration. » (Ex. 34:6-7). Nous n’avons pas la libertĂ© de choisir entre ses attributs : « Moi, je me passerais bien de sa colĂšre; L5ON. Skip to content GRÂCE DANS L’ANCIEN TESTAMENT Pour nous Ă©vangĂ©liques, croire en la grĂące de Dieu est une Ă©vidence. Nous vivons de sa grĂące
 mais Ă©prouvons parfois le sentiment de devoir la mĂ©riter. Ce sentiment – universel – ne doit pas ĂȘtre trop vite attribuĂ© Ă  Satan l’accusateur, mais doit recevoir une thĂ©rapie biblique car il rĂ©sulte de la rupture Gn 3 et d’une dĂ©cision de Dieu le renvoi du jardin et, plus tard, le don de la loi. Loi qui rĂ©vĂšle Dieu, sa condamnation du pĂ©chĂ©, et sa grĂące pourvoyant Ă  une expiation. Seul celui qui a donnĂ© la loi nous fait vivre de la grĂące, par notre abandon total Ă  lui. C’est lui qui aide, et non les raccourcis qui opposent artificiellement Dieu dur’ Ă  Dieu bon’. Cet article n’est que le premier d’une sĂ©rie de trois visant Ă  donner une vue d’ensemble de ce qu’est la grĂące dans la Bible. Suivent GRÂCE VENUE PAR JÉSUS CHRIST, puis GRÂCE ET LOI. Dieu donne le cadre de comprĂ©hension de la grĂące. Il le fait par la premiĂšre mention du mot dans la Bible l’Éternel dit j’effacerai de la surface du sol l’homme que j’ai créé 
 mais NoĂ© trouva grĂące aux yeux de l’Éternel Gn 6 v 7-8. C’est dans l’annonce d’une fin du monde » le dĂ©luge que la Bible fait retentir le mot grĂące », aux oreilles d’une humanitĂ© dĂ©chue dont le cƓur ne conçoit que des pensĂ©es mauvaises v 5. Ce mot grĂące » indique oĂč espĂ©rer en l’Éternel qui avait dĂ©jĂ  rĂ©vĂ©lĂ© combien il est bon, ne serait-ce que par sa crĂ©ation. Dans tout l’AT, le Dieu qui condamne parlera de grĂące Ă  des pĂ©cheurs, qui n’ont aucune autre voie de salut. D’oĂč, s’ils Ă©coutent Dieu, leurs nombreuses expressions Ă  la fois de reconnaissance et d’humilitĂ©. C’est aux yeux de Dieu qu’on trouve grĂące. Le mot grĂące » apparaĂźt beaucoup dans le texte de l’AT env. 120 x, presque autant que dans le NT env. 140 x. Il apparaĂźt surtout dans les Psaumes et, posant le sens, dans le Pentateuque que JĂ©sus appelle la Loi Lc 24 v 44. Quand les cinq livres de MoĂŻse emploient le mot grĂące, c’est presque toujours dans l’expression trouver grĂące, quelquefois aux yeux d’un humain mais surtout aux yeux de l’Éternel. C’est vers lui que le mot grĂące » oriente les cƓurs ! Elle est prĂ©sentĂ©e comme sa faveur, celle qui n’est pas un dĂ», celle que trop souvent le pĂ©cheur ne recherche pas. Ensuite, citant le serviteur anonyme d’Abraham, MoĂŻse ajoute une deuxiĂšme expression Éternel, use de grĂące envers mon seigneur Abraham Gn 24 v 12. C’est Ă  dire use de grĂące » envers un homme qui a trouvĂ© grĂące » Ă  tes yeux. Par ces deux expressions MoĂŻse dit l’essentiel la grĂące est souverainement accordĂ©e par Dieu, et elle lui est demandĂ©e par ceux qui la valorisent. Et cela parce qu’elle est la grĂące d’une alliance » que Dieu ouvre aux siens Dt 7 v 9 par fidĂ©litĂ© 2 Rois 13 v 23. Use de grĂące » sera l’emploi trĂšs majoritaire du mot grĂące » dans les Psaumes c’est Ă  dire dans les chants et priĂšres d’IsraĂ«l. Bien sĂ»r, dans l’AT fleurissent aussi d’autres expressions comme l’Éternel fait grĂące Gn 43 v 29, il est plein de grĂące Ps 103 v 8, il donne la grĂące et la gloire Ps 84 v 12. L’avant-derniĂšre mention du mot, dit le comment’ de la grĂące de Dieu je rĂ©pandrai sur la maison de David un Esprit de grĂące et de supplication et ils tourneront les regards vers moi, celui qu’ils ont transpercĂ© Za 12 v 10. Le comment’ ultime, ce sera la crucifixion du Fils. Merveille sans Ă©gale, Dieu est plein de grĂące. Oui, sans Ă©gale parce que Dieu est lumiĂšre 1 Jn 1 et Dieu est amour 1 Jn 4, comme un tout et non comme deux moitiĂ©s de sa nature. Dans l’AT le mot grĂące » hĂ©breu hĂ©n, du verbe hanan porter le regard, se pencher favorablement, d’oĂč beautĂ© est prĂ©sent dans les noms comme Anne, Jonathan, Nathan, Hanania, etc. Concernant Dieu, le mot exprime Ă  la fois sa faveur Ă©blouissante et sa splendeur de bontĂ©. Si la beautĂ© existe dans sa crĂ©ation, c’est qu’il est lui-mĂȘme perfection et merveille indicible Dieu est lumiĂšre, splendeur et magnificence sont devant sa face Ps 96 v 6. En Dieu, splendeur et faveur sont un, selon le refrain du Psaume 80 fais briller ta face et nous serons sauvĂ©s. note est-ce par influence biblique, en français aussi le mot grĂące exprime la bontĂ© gratuite et le charme La grĂące de Dieu est plus spĂ©cifique que ses bienfaits universels. Au commencement Dieu crĂ©e l’homme et pourvoit Ă  tout. AprĂšs la rupture il ferme l’accĂšs Ă  l’arbre de vie, tout en restant celui qui pourvoit Ă  la vie humaine, malgrĂ© les ravages du mal. Les Écritures appellent cela bontĂ©, bienveillance, patience de Dieu. Elle profite Ă  tout homme, croyant ou pas, en plusieurs domaines. D’abord, dans la vie physique les compassions de Dieu s’étendent Ă  toutes ses Ɠuvres Ps 145 v 9 et la lumiĂšre est bonne pour les yeux Ecc 11 v 7. Ensuite, elle profite dans le domaine moral si une femme n’oublie pas son nourrisson Es 49 v 15 c’est qu’elle est image du Dieu compatissant. Si les gouvernants peuvent ordonner ce qui est juste Jb 8 v 15, c’est par la sagesse reçue du crĂ©ateur. Plus encore, elle profite dans le domaine spirituel c’est la pensĂ©e de l’éternitĂ© inscrite dans les cƓurs Ecc 3 v 11. Pour toutes ces raisons, le dernier verset des Psaumes dit que tout ce qui respire doit louer l’Eternel. Concernant ces bienfaits de Dieu envers les humains, on parle de grĂące commune ». Pourtant, quand la Bible les dĂ©signe, elle n’emploie pas le mot grĂące » car elle le rĂ©serve Ă  une bontĂ© particuliĂšre, celle qui pourvoit Ă  l’expiation des fautes. Le mot grĂące apparait dans le cadre de l’élection, de l’alliance, du salut choix de NoĂ©, appel d’Abraham, choix de MoĂŻse, don de la loi et des sacrifices qu’elle prescrit Ps 119 v 29 dit litt. la grĂące de ta loi. C’est Dieu qui a initiĂ© l’expiation par le sang versĂ©. Dieu dit la vie l’ñme de la chair est dans le sang, je vous l’ai donnĂ© sur l’autel afin qu’il serve d’expiation pour votre vie, car c’est par la vie que le sang fait l’expiation Lv 17 v 11. Expier c’est effacer une faute en portant la mort qu’elle mĂ©rite. La Bible est claire le pĂ©chĂ© mĂšne Ă  la mort et nul ne peut expier ni son propre pĂ©chĂ© ni celui d’autrui Ps 49 v 8-9. C’est Dieu qui a donnĂ© le moyen d’expiation, le sang une Ăąme innocente meurt pour une Ăąme coupable. À travers tout l’AT, bien que le substitut qui meurt ne soit encore qu’un animal, la gratuitĂ© divine brille. Qu’est-ce qui est gratuit ? C’est que Dieu s’occupe lui-mĂȘme du pĂ©chĂ©. Il avait dit la sanction tu mourras, maintenant il agit pour sauver le coupable. Il le fait d’abord sans un mot, en faisant Ă  Adam et Eve des vĂȘtements de peau c’est Ă  dire en tuant un animal Gn 3 v 21. Il le fait en se montrant propice Ă  Abel, dont l’offrande est un animal Gn 4 v 4. Il le fait explicitement en sentant une odeur agrĂ©able Gn 8 v 21 quand NoĂ© offre des animaux. Il le fait mystĂ©rieusement par son alliance avec Abraham, quand sa fournaise passe entre des animaux coupĂ©s en deux Gn 15 v 17. Surtout, il le fait quotidiennement en prescrivant Ă  MoĂŻse les sacrifices d’expiation-propitiation voir Annexe qui permettront Ă  IsraĂ«l de perdurer sous le regard de l’Éternel Exd 29 v 38-39. La gratuitĂ© montrĂ©e par Dieu dans l’AT anticipe sur celle du NT. Une idĂ©e facile, mais caricaturale, est que sous l’ancienne alliance tout se mĂ©ritait et sous la nouvelle tout est gratuit. En fait, le pardon accordĂ© sous l’ancienne alliance l’était en vertu d’une dĂ©cision unilatĂ©rale de Dieu transfĂ©rer le pĂ©chĂ© du coupable sur un animal innocent Lv 1 v 4 et 16 v 21 et pardonner en anticipant la seule vraie expiation, celle que son Fils allait accomplir. Celle que prĂ©figuraient les sacrifices d’animaux. Pour le pĂ©cheur du temps de l’AT il y avait une grĂące ! Elle ĂŽtait les pĂ©chĂ©s moins par le sang des taureaux ou des boucs Hb 10 v 1 et 4 que par la dĂ©cision divine d’anticiper sur le sang de Christ heureux l’homme Ă  qui le pĂ©chĂ© est pardonnĂ©, Ă  qui l’Éternel ne tient pas compte de sa faute Ps 32 v 1. Cette dĂ©cision Ă©tait gratuite et unilatĂ©rale ce n’est pas Adam, Abel, NoĂ©, Abraham, ou MoĂŻse qui ont demandĂ© Ă  Dieu de pourvoir Ă  l’expiation. De mĂȘme la plus haute et plus frĂ©quente promesse de l’AT, celle d’un Messie, Ă©tait unilatĂ©rale et gratuite et non quand vous m’obĂ©irez pleinement je l’enverrai. La position humaine est double ĂȘtre perdu loin de Dieu, et ĂȘtre appelĂ© par lui. Le Dieu de grĂące, parce qu’il cherche des adorateurs en esprit et en vĂ©ritĂ©, a toujours mis une condition de volontariat’ liĂ©e au sang dans l’AT c’est apporter l’animal Ă  sacrifier, dans le NT ce sera avoir foi au sang de Christ. Le Dieu qui condamne est celui qui fait grĂące. Il faut insister lĂ -dessus, parce que c’est ainsi que Dieu a voulu faire comprendre sa grĂące. À des pĂ©cheurs qu’il condamne, il tend sa grĂące. DĂšs le dĂ©but, Dieu rĂ©vĂšle qu’il fait les deux l’Éternel, l’Éternel, Dieu compatissant et qui fait grĂące, lent Ă  la colĂšre et riche en bontĂ© et en vĂ©ritĂ© litt., qui conserve sa bienveillance jusqu’à mille gĂ©nĂ©rations, qui pardonne la faute, le crime, le pĂ©chĂ© ; mais qui ne tient pas le coupable pour innocent, et qui punit la faute des pĂšres sur les fils et sur les petits-fils jusqu’à la troisiĂšme et la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration Exd 34 v 6-7. Ailleurs il prĂ©cise la distinction entre ceux qui me haĂŻssent, et ceux qui m’aiment Exd 20 v 5-6, Dt 5 v 9-10. Toute la Bible est sans Ă©quivoque si le Dieu de vĂ©ritĂ© fait grĂące ce n’est nullement qu’il tient le coupable pour innocent, c’est qu’il pourvoit lui-mĂȘme Ă  l’impossible expiation. DĂšs le dĂ©but, et jusqu’à la fin, Dieu punit le pĂ©chĂ© qui n’est pas expiĂ© il envoie le dĂ©luge, ou les plaies d’Égypte, ou celles sur IsraĂ«l au dĂ©sert, il le livre entre les mains des ennemis Jug, il frappe par le bĂąton Ps 89 v 33 et mĂȘme par l’épĂ©e, par la famine, par la peste Ez 14 v 21. Il le fait en distinguant entre punir pour corriger et punir pour dĂ©truire je ne t’exterminerai pas, je te punirai selon le droit, je ne puis pas t’innocenter JĂ©r 30 v 11. L’expression bontĂ© de Dieu » Ps 136 par ex. doit signifier pour nous ce qu’elle a signifiĂ© pour les auteurs bibliques un juge gracie par le sang », et non le pĂ©chĂ© n’est pas si grave que ça ». JĂ©sus aussi distinguera entre Lc 12 v 47 et Lc 19 v 27 Car la loi a Ă©tĂ© donnĂ©e par MoĂŻse, la grĂące et la vĂ©ritĂ© est venue par JĂ©sus Christ. Nous avons tous reçu de sa plĂ©nitude et grĂące pour grĂące Jn 1 v 16, car la loi a Ă©tĂ© donnĂ©e par MoĂŻse, la grĂące et la vĂ©ritĂ© est litt. venue par JĂ©sus Christ v 17. Ce deuxiĂšme verset constitue un rĂ©sumĂ© de toute la rĂ©vĂ©lation de Dieu. HĂ©las on le lit trop comme si Jean avait Ă©crit loi mais’ grĂące, comme si la grĂące de Dieu s’opposait Ă  sa loi. En fait, l’expression de Jean grĂące pour grĂące’ grĂące reçue pour la raison que Dieu est compatissant s’appuie sur une parole de Dieu Ă  MoĂŻse je fais grĂące Ă  qui je fais grĂące Exd 33 v 19. Et l’expression grĂące et vĂ©ritĂ© litt. est aussi de MoĂŻse citant le serviteur d’Abraham qui loue la solide fiabilitĂ© de Dieu Gn 24 v 27. Ainsi, Jean enseigne que par la loi le Pentateuque l’Éternel s’est fait connaĂźtre Dieu de grĂące, puis que cette grĂące est venue par JĂ©sus Christ, pour une alliance dĂ©finitive. Les arrhes de la grĂące la loi ont prĂ©parĂ© les Ă©lus Ă  mieux bĂ©nĂ©ficier d’une plĂ©nitude de la grĂące l’Évangile. ANNEXE. Dans la Bible les sacrifices sanglants sont Ă  la foi expiatoires et propitiatoires. Expier c’est effacer une faute en portant la mort qu’elle mĂ©rite. Par la juste colĂšre du Dieu qui est grĂące, c’est l’ñme qui pĂšche qui mĂ©rite la mort, une peine juridique prĂ©vue par Dieu le jour oĂč tu en mangeras, tu mourras. Toutefois Dieu, qui veut sauver, donne un moyen d’expiation Lv 17 v 11 le sang. C’est donc le sacrifice d’une vie, c’est la mort d’une Ăąme animale exempte de pĂ©chĂ© Ă  la place d’une Ăąme souillĂ©e. Selon la Bible, cette mort d’un substitut est pĂ©nale car elle est le chĂątiment qui couvre-efface le pĂ©chĂ© du coupable. L’effacement du pĂ©chĂ© fait propitiation c’est Ă  dire apaise la colĂšre de Dieu contre l’ñme coupable Exd 32 v 11 et 30 et le rend propice Ă  celle-ci. L’expiation qui efface la faute, est aussi une propitiation qui satisfait l’Éternel. C’est l’idĂ©e tant rĂ©pĂ©tĂ©e par l’expression sacrifice d’une agrĂ©able odeur Ă  l’Eternel » Gn 8 v 21, une odeur d’apaisement. Le sacrificateur fera propitiation pour eux et il leur sera pardonnĂ© Lv 4 v 20 – – – ... si tu me dĂ©testes, je ne te laisserai pas en paix, mais si tu m'aimes et si tu fais ce que je demande, je ne t'oublierai jamais, toi et tes enfants Texte de la traduction liturgique de la bible ...chez ceux qui me haĂŻssent, je punis la faute des pĂšres sur les fils, jusqu'Ă  la troisiĂšme et la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration ; 06 mais ceux qui m'aiment et observent mes commandements, je leur garde ma fidĂ©litĂ© jusqu'Ă  la milliĂšme gĂ©nĂ©ration. Pour parler Ă  des enfants Dieu n'est pas loin il nous connaĂźt tous, il sait ce que nous pensons, ce que nous faisons, pas pour nous espionner et nous punir, mais pour nous aider. Mais il ne peut nous aider que si nous le voulons, si nous sommes d'accord alors, il ne nous oubliera jamais ; si nous refusons, il ne peut rien faire pour nous, mais il revient sans arrĂȘt nous proposer son aide et ne nous laisse pas nous enfermer dans la mĂ©chancetĂ©. Points de repĂšre pour les parents VoilĂ  l'origine de la peur du Dieu vengeur accrĂ©ditĂ©e par une lecture superficielle, elle ne rĂ©siste pas Ă  la connaissance du style biblique. Il s'agit d'un effet classique de parallĂ©lisme une affirmation nĂ©gative limitĂ©e met en valeur une affirmation positive illimitĂ©e. L'important est que Dieu reste fidĂšle sur mille gĂ©nĂ©rations il n'y en a pas eu autant depuis que l'humanitĂ© est consciente !, c'est-Ă -dire jusqu'Ă  la fin du monde, en permanence. En face de ça, punir la faute des pĂšres sur les fils sur trois ou quatre gĂ©nĂ©rations n'est qu'un artifice de style, sans doute choquant mais pas significatif. JĂ©sus a dĂ©finitivement dĂ©samorcĂ© cette croyance avec la guĂ©rison de l'aveugle-nĂ©, mais il y avait dĂ©jĂ  longtemps que les sages et les rabbins rejetaient cette hypothĂšse. Dieu n'est ni aveugle ni laxiste, il n'accepte pas n'importe quoi mais il ne punit pas, mĂȘme pas quelqu'un qui est personnellement coupable, comme le montre l'admirable chapitre 2 du livre du prophĂšte OsĂ©e quand Dieu "punit", il aime encore plus ! Contrairement Ă  ce que nous pourrions penser rapidement, la saintetĂ© de Dieu ne se dĂ©finit pas d’abord du fait que Dieu est sĂ©parĂ© du pĂ©chĂ©. Dieu est saint de toute Ă©ternitĂ©, et c’était vrai avant que le pĂ©chĂ© n’entre dans le monde. La saintetĂ© est le fait que Dieu se consacre totalement Ă  ce qu’il est, Ă  son plan. Il ne dĂ©vie jamais. »La semaine passĂ©e, nous avons commencĂ© Ă  regarder la justice de Dieu. Et j’ai Ă  peine eu le temps de mentionner qu’il ne faut pas la dĂ©finir selon le concept moderne. Dans la sociĂ©tĂ© moderne, la justice est l’égalitarisme; Dieu devrait traiter tous les hommes Ă©galement. Or, Dieu nous montre dans la crĂ©ation que ce n’est pas ce qu’il fait. Il y a des inĂ©galitĂ©s dans tout. Les humains sont de grandeurs diffĂ©rentes. D’intelligence diffĂ©rente. D’aptitudes diffĂ©rentes. De conditions sociales diffĂ©rentes. MĂȘme avant la chute, l’homme et la femme ont Ă©tĂ© créés avec des capacitĂ©s, des caractĂ©ristiques, des rĂŽles diffĂ©rents. Et pourtant, Dieu n’est pas injuste. Je suis nĂ© Ă  un endroit oĂč l’évangile est prĂȘchĂ©. J’aurais pu naĂźtre dans un pays musulman, ou dans un pays bouddhiste. Dieu est juste dans tout ce qu’il fait. Il est juste en punissant les rebelles. C’est juste parce que la rĂ©bellion mĂ©rite d’ĂȘtre punie. Et il est aussi juste en sauvant les Ă©lus parce que dans ce cas, c’est JĂ©sus-Christ qui a accompli la justice de Dieu Ă  leur place. Si un policier remet deux contraventions Ă  deux conducteurs qui sont passĂ©s sur le feu rouge, il est juste. Et s’il dĂ©cide de payer lui-mĂȘme la premiĂšre contravention mais pas la deuxiĂšme, c’est aussi juste. Le deuxiĂšme conducteur ne peut jamais dire que sa contravention est injuste parce que le policier Ă  payĂ© l’autre. Le deuxiĂšme conducteur n’a que lui Ă  blĂąmer. Et que le policier paie la premiĂšre contravention n’est pas injuste. Ce qui serait injuste, c’est que le policier n’ait pas remis une contravention au premier conducteur. LĂ  ce serait injuste parce que ce conducteur mĂ©rite aussi la contravention. Mais que le policier dĂ©cide de la payer ne fait pas de lui quelqu’un d’injuste. C’est la mĂȘme chose pour Dieu. C’est tout Ă  fait juste qu’il envoie les rebelles en enfer. Et si Dieu a voulu prendre sur lui la punition de ceux qu’il s’est choisis, c’est tout Ă  fait juste parce qu’il a payĂ© lui-mĂȘme en prenant le chĂątiment que la loi prĂ©voit. En fait, ce qui est strictement juste, c’est que tout le monde aille en enfer puisque nous avons tous pĂ©chĂ©. Nous ne devrions jamais nous Ă©tonner de ce que Dieu envoie des personnes en enfer. Nous devrions plutĂŽt nous Ă©tonner qu’il en sauve quelques-uns. Romains Dieu a voulu montrer sa justice dans le temps prĂ©sent, de maniĂšre Ă  ĂȘtre reconnu juste, tout en justifiant celui qui a la foi en JĂ©sus. ColĂšreLa justice de Dieu nous conduit sur la colĂšre de Dieu. La colĂšre de Dieu n’est jamais une crise temporaire comme l’homme peut en avoir. La colĂšre de Dieu est la juste rĂ©action du Dieu trois fois saint face au pĂ©chĂ©. La colĂšre de Dieu s’exprime dans ses jugements. La colĂšre de Dieu est proportionnelle Ă  l’offense. Les rĂ©prouvĂ©s ne seront pas tous traitĂ©s Ă©galement. Il y a des degrĂ©s de chĂątiments. Matthieu 21 Malheur Ă  toi, Chorazin ! Malheur Ă  toi, BethsaĂŻda ! Car, si les miracles faits au milieu de vous avaient Ă©tĂ© faits Ă  Tyr et Ă  Sidon, il y a longtemps qu’elles se seraient repenties avec le sac et la cendre. 22 C’est pourquoi je vous le dis au jour du jugement, Tyr et Sidon seront traitĂ©es moins rigoureusement que vous. JalouxDieu est aussi un Dieu jaloux. Ce que nous avons vu sur sa colĂšre est aussi vrai pour la jalousie de Dieu. Il ne s’agit pas d’une crise Ă©motive mue par l’insĂ©curitĂ© de perdre une personne qui lui est chĂšre. La jalousie de Dieu est le fait que Dieu dĂ©fend continuellement l’honneur de son nom. MĂȘme lorsqu’il n’intervient pas immĂ©diatement, il ne laissera jamais impuni celui qui le dĂ©shonore. Le 3e commandement dit, Exode 4 Tu ne te feras pas de statue, ni de reprĂ©sentation quelconque de ce qui est en haut dans le ciel, de ce qui est en bas sur la terre, et de ce qui est dans les eaux plus bas que la terre. 5 Tu ne te prosterneras pas devant elles, et tu ne leur rendras pas de culte ; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis la faute des pĂšres sur les fils jusqu’à la troisiĂšme et Ă  la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui me haĂŻssent, 6 et qui use de bienveillance jusqu’à mille gĂ©nĂ©rations envers ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements. C’est parce que Dieu est jaloux de son nom, de son honneur qu’il punit ceux qui le dĂ©shonorent. Ça peut sembler excessif, mais c’est tout Ă  fait juste et bien qu’il en soit ainsi. L’honneur de Dieu ne peut ĂȘtre bafouĂ© impunĂ©ment. Dieu doit dĂ©fendre son honneur. Il doit dĂ©fendre qui il est aussi patient. Avant de regarder ce qu’est la patience de Dieu, nous allons voir ce qu’elle ne signifie pas. La patience de Dieu n’est pas le laxisme ou le laisser-aller. Parfois, des parents, au nom de la patience, ne reprennent pas leurs enfants. Cette attitude n’est pas de la patience. C’est de l’irresponsabilitĂ©. Des parents patients sont des parents qui vont reprendre leurs enfants, qui vont les corriger, en sachant que les rĂ©sultats viennent Ă  la longue. La patience, loin de se dĂ©finir dans l’inaction, est plutĂŽt le fait de persĂ©vĂ©rer dans les interventions dans l’espoir que les rĂ©sultats viennent Ă©ventuellement. De la mĂȘme façon, la patience de Dieu n’est jamais l’inaction. La patience de Dieu est synonyme de la persĂ©vĂ©rance. Dieu est patient. C’est-Ă -dire qu’il poursuit l’Ɠuvre qu’il a commencĂ©e en tolĂ©rant le pĂ©chĂ© pour un temps. La patience de Dieu vise Ă  ce que tous les Ă©lus viennent au Pierre Le Seigneur ne retarde pas l’accomplissement de sa promesse, comme quelques-uns le pensent. Il use de patience envers vous, il ne veut pas qu’aucun pĂ©risse, mais il veut que tous arrivent Ă  la repentance. Et la patience de Dieu sert aussi Ă  dĂ©montrer la rĂ©alitĂ© de l’endurcissement des rĂ©prouvĂ©s. Apocalypse Je lui ai donnĂ© du temps pour se repentir, mais elle ne veut pas se repentir de son inconduite. Si le Seigneur punissait l’ĂȘtre humain dĂšs la premiĂšre manifestation de son pĂ©chĂ©, tous mourraient bĂ©bĂ©s. Mais Dieu laisse les humains se vautrer dans le pĂ©chĂ© pendant une durĂ©e oĂč l’endurcissement devient manifeste. Autrement dit, la patience de Dieu sert Ă  dĂ©montrer la persistance des rĂ©prouvĂ©s dans le pĂ©chĂ©. Romains Et si Dieu, voulant montrer sa colĂšre et faire connaĂźtre sa puissance, a supportĂ© avec une grande patience des vases de colĂšre formĂ©s pour la perdition ? Si des chrĂ©tiens se permettent de pĂ©cher en se disant que Dieu est patient, ils font une grave erreur sur la patience de autre attribut de Dieu, c’est sa saintetĂ©. Nous avions aussi vu ce point un mercredi soir. Contrairement Ă  ce que nous pourrions penser rapidement, la saintetĂ© de Dieu ne se dĂ©finit pas d’abord du fait que Dieu est sĂ©parĂ© du pĂ©chĂ©. Dieu est saint de toute Ă©ternitĂ©, et c’était vrai avant que le pĂ©chĂ© n’entre dans le monde. La saintetĂ© est le fait que Dieu se consacre totalement Ă  ce qu’il est, Ă  son plan. Il ne dĂ©vie jamais. La saintetĂ© est la qualitĂ© de celui qui est consacrĂ©. Dans le temple de JĂ©rusalem, le Seigneur avait dit que les ustensiles utilisĂ©s devaient ĂȘtre saints, c’est-Ă -dire qu’ils devaient ĂȘtre consacrĂ©s, rĂ©servĂ©s Ă  l’usage exclusif du service pour Écritures nous prĂ©sentent un Dieu totalement unique, dont les attributs sont uniques Ă  lui. Nous ne pouvons comparer Dieu Ă  quelqu’un d’autre. ÉsaĂŻe À qui me comparerez-vous, pour que je lui ressemble ? Dit le Saint. Notre Dieu est incomparable en raison de son acte crĂ©ateur. ÉsaĂŻe 25 À qui me comparerez-vous, Pour que je lui ressemble ? Dit le Saint. 26 Levez les yeux en haut et regardez ! Qui a créé ces choses ? C’est celui qui fait sortir leur armĂ©e au complet. Il les appelle toutes par leur nom, Par son grand pouvoir et par sa force puissante Pas une qui fasse dĂ©faut. Alors que MoĂŻse discute avec le pharaon sur le fait que Dieu va mettre fin Ă  une des plaies, nous lisons, Exode MoĂŻse dit Il en sera ainsi, afin que tu reconnaisses que nul nest semblable Ă  l’Éternel, notre Dieu. Daniel Durand, pasteur26 aoĂ»t 2018 Paracha Tazria/Metsora LĂ©vitique 121 Ă  15 Fin Ainsi nous parlons, non comme pour plaire Ă  des hommes, mais pour plaire Ă  Dieu, qui sonde nos coeurs. » 1 Thessaloniciens 24 Il est notable de remarquer que la section de la Torah qui traite de ce qui rentre dans la bouche LĂ©vitique 11, Paracha chĂ©mini prĂ©cĂšde la section de la Torah qui parle des graves consĂ©quences de ce qui en sort LĂ©vitique 13 & 14. Rabbi IsraĂ«l Salenter, une figure connue et respectĂ©e du judaĂŻsme, fondateur du mouvement du Moussar morale juive explique Les gens sont souvent trĂšs sĂ©rieux en ce qui concerne la Cacherout. Ils veillent attentivement Ă  manger cachĂšre. Mais en ce qui concerne les paroles de mĂ©disance, ils sont moins scrupuleux. Les gens font plus attention Ă  manger cachĂšre qu’à ne pas prononcer des paroles de mĂ©disance. Ainsi, la Thora a souhaitĂ© juxtaposer le sujet de la Cacherout au sujet de la Tsaraat [lĂšpre], qui venait surtout suite Ă  la mĂ©disance. La Thora veut ainsi nous dire De mĂȘme que tu fais trĂšs attention Ă  ce qui entre dans ta bouche, ainsi fais autant attention Ă  ce qui “sort” de ta bouche. » » En effet, les maĂźtres de la Torah enseignent que lorsque l’homme ingĂšre des aliments impurs, certes, il va endommager ou bloquer certaines parties de son Ăąme, prĂ©cieuses pour s’ouvrir et s’élever spirituellement, mais il ne sera frappĂ© miraculeusement par aucune plaie physique. Cependant, lorsque l’homme fait sortir de son coeur et de sa bouche des paroles de mĂ©disance, il Ă©tait alors frappĂ© miraculeusement d’une plaie de lĂšpre afin de nous enseigner et de nous instruire sur l’exceptionnelle gravitĂ© de cette faute et nous apprendre une leçon fondamentale trĂšs bien illustrĂ©e par cette anecdote Un jour, un juif en haillons harangua un groupe de juifs pieux qui examinait la cacherout d’une auberge locale afin de savoir s’ils pouvaient oui ou non y manger Fils d’IsraĂ«l, soyez beaucoup plus mĂ©ticuleux encore avec les lois du langage qu’avec les lois de cacherout ! À chaque nourriture qui doit rentrer dans votre bouche, vous faites des investigations et posez toutes sortes de questions sans fin. Faites-vous de mĂȘme pour chaque parole qui sort de votre bouche ? Vous souciez-vous autant des mots que vous prononcez ? » » [
] Rabbi Bounem entendit ces paroles de reproche et s’émerveilla de leur portĂ©e Cet homme a entiĂšrement raison, se dit-il. Combien le juif se montre pointilleux avec la nourriture qui rentre dans sa bouche et combien il se montre nĂ©gligent avec les paroles qui sortent de sa bouche, alors que la gravitĂ© de l’interdit de la mĂ©disance dĂ©passe de loin celui de la consommation de porc ! » PninĂ© HaTorah Le lecteur familier des Évangiles dĂ©couvrira ici, avec une grande simplicitĂ©, le sens vĂ©ritable des propos de notre Saint MaĂźtre en Chef YĂ©shoua JĂ©sus qui, loin d’abolir les lois de cacherout, ne faisait que s’aligner une fois encore avec l’enseignement juif rabbinique authentique prescrivant d’ĂȘtre bien plus rigoureux et soigneux avec ce qui sort de notre bouche qu’avec ce qui y rentre. La Torah et les sages, depuis des millĂ©naires, hurlent d’un mĂȘme coeur l’enseignement de vie du Messie, parfaitement rĂ©sumĂ© dans l’Évangile Écoutez, et comprenez. Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l’homme; mais ce qui sort de la bouche, c’est ce qui souille l’homme. [
] Ce qui sort de la bouche vient du coeur, et c’est ce qui souille l’homme. Car c’est du coeur que viennent les mauvaises pensĂ©es, les meurtres, les adultĂšres, les impudicitĂ©s, les vols, les faux tĂ©moignages, les calomnies. VoilĂ  les choses qui souillent l’homme. » Matthieu 1510-20. Il est Ă©galement tout Ă  fait significatif de remarquer une autre chose lorsque l’Écriture nous enseigne au sujet des plaies de lĂšpre infligĂ©es en consĂ©quence des mauvais propos qui sortent de l’homme et le souillent », la Torah choisit de nous parler au mĂȘme endroit de certains flux corporels qui sortent de l’homme et le rendent impur. DĂ©passant de loin toutes les sciences les plus abouties, le sage agencement des versets et des chapitres de la Torah nous rapporte lĂ  encore, l’enseignement vertueux du Messie qui, il y a plus de 2000 ans, rĂ©sumait dĂ©jĂ , en une seule phrase, cet enseignement clĂ© de notre Paracha Ce qui sort de l’homme [lachon hara mĂ©disance, calomnies], c’est ce qui souille l’homme. » Marc 720 Contrairement a ce que quelques perfides enseignements prĂ©tendent sur internet, les sages d’IsraĂ«l authentiques ont toujours enseignĂ©, depuis le don de la Torah sur le mont SinaĂŻ, que le lachon hara mĂ©disance, calomnie est un des pires flĂ©aux, supĂ©rieur en termes de gravitĂ©, au meurtre, Ă  la dĂ©bauche et Ă  l’idolĂątrie. C’est en outre le lachon hara qui selon les sages, serait une des causes premiĂšres de la destruction du deuxiĂšme temple. Note nous parlons ici des Sages d’IsraĂ«l authentiques afin que chacun puisse marquer la diffĂ©rence et ne pas confondre avec certains pharisiens corrompus qui apparaissent dans les Ă©crits de l’Alliance RenouvelĂ©e et n’ayant rien en commun avec les Sages authentiques d’IsraĂ«l puisqu’à l’instar du Messie YĂ©shoua, ces derniers s’opposaient eux aussi Ă  ces mĂȘmes pharisiens lĂ©galistes qui oubliaient l’Esprit de la lettre
 Le midrach Vayikra Raba remarque il est Ă©crit cinq fois VĂ©zote voici dans la paracha liĂ©e Ă  la mĂ©disance voici les lois de la plaie de lĂšpre », voici les lois du lĂ©preux », voici la loi de celui qui aura une plaie »  Ceci afin de t’apprendre que celui qui dit du lachone hara, c’est comme s’il transgressait les cinq livres de la Torah vĂ©zote haTorah. C’est pourquoi la Torah nous met particuliĂšrement en garde contre cette avĂ©ra faute Ă  travers toute la Paracha Metsora. De mĂȘme nos Sages nous disent au dĂ©but du traitĂ© PĂ©a Pour trois AvĂ©rot on punit un homme dans ce monde-ci et le capital de la faute lui reste intact dans le monde futur le meurtre, la dĂ©bauche et l’idolĂątrie, mais le Lachon hara est une faute plus grave encore que toutes celles-lĂ  » VoilĂ  pourquoi Yaacov Jacques, dans la lignĂ©e des enseignements de son MaĂźtre YĂ©shoua JĂ©sus, parle de la langue comme du seul membre capable de souiller tout le corps de l’homme La langue est placĂ©e parmi nos membres, souillant tout le corps » Jacques 36. En rĂ©ponse au lachon hara qui souille l’homme et dont la gravitĂ© est extrĂȘme, la justice divine applique un mesure pour mesure » manifestant physiquement les consĂ©quences spirituelles dĂ©sastreuses de la mauvaise bouche des plaies de lĂšpres » viendront frapper miraculeusement le mĂ©disant et le souiller jusqu’à ce qu’il fasse tĂ©chouva repentance. Le judaĂŻsme a toujours Ă©tĂ© profondĂ©ment conscient des dĂ©gĂąts colossaux du Lachon Hara mĂ©disance. Il est donc normal que YĂ©shoua, en tant que Juif, s’exprime et s’aligne parfaitement dans la pensĂ©e juive hĂ©braĂŻque de son peuple tout le long de son enseignement concernant la nourriture le lachon hara est ce qui souille l’ĂȘtre humain tout entier et engendre de terribles calamitĂ©s. Nos mauvais propos les uns sur les autres mettent en mouvement des forces de destructions qui s’abattront dans le monde. Il faut donc impĂ©rativement redoubler son attention et sa vigilance dans ce domaine. Combattons le flĂ©au de la mĂ©disance en Ă©tudiant ensemble les Lois du Langage Nous avons ici le sens profond, simple et vĂ©ritable de l’enseignement du Messie YĂ©shoua dans ces quelques passages de l’Évangile qui concernent les lois alimentaires. Il convient d’insister avec une certaine pointe de sĂ©vĂ©ritĂ© Jamais YĂ©shoua n’annule les lois de cacherout. Il prend seulement soin de rĂ©tablir les prioritĂ©s nos mauvaises paroles constituent un mal infiniment plus grave que l’ingestion de nourriture impure. Il est donc tragique de voir une partie du monde non-juif rĂ©cupĂ©rer les paroles du MaĂźtre pour en tordre le sens et se dĂ©gager des lois de cacherout. Se faisant, plusieurs, trompĂ©s Ă  leur insu par de faux enseignements, prĂ©sentent ainsi un JĂ©sus dĂ©naturĂ© Changeant les tĂ©nĂšbres en lumiĂšre, et la lumiĂšre en tĂ©nĂšbres, l’amertume en douceur, et la douceur en amertume » ÉsaĂŻe 520, ils ont autorisĂ© et encouragĂ© la consommation d’une alimentation bibliquement impure et proscrit l’observance des lois de cacherout si bĂ©nĂ©fiques pour notre Ăąme et pour notre Ă©lĂ©vation spirituelle ainsi que la science moderne elle-mĂȘme confirme et commence petit Ă  petit Ă  dĂ©couvrir. À ceux qui agissent de la sorte avec La Parole prĂ©cieuse, immuable et sacrĂ©e du Tout-Puissant, le prophĂšte ÉsaĂŻe s’exclame Malheur ! » VoilĂ  pourquoi Paul dira Ă  la suite du prophĂšte Si quelqu’un n’aime pas le Seigneur, qu’il soit maudit. » 1 Corinthiens 1622 et encore Quand un ange du ciel annoncerait un autre Évangile que celui que nous vous avons prĂȘchĂ©, qu’il soit maudit ! [
] je le rĂ©pĂšte Ă  cette heure si quelqu’un vous annonce un autre Évangile que celui que vous avez reçu, qu’il soit maudit ! » Galates 18-9. AssurĂ©ment, un Ă©vangile qui enseigne l’abolition de la Loi divine est un autre Ă©vangile. Les paroles du prophĂšte et de Paul sont dures, mais ne sauraient ĂȘtre cachĂ©es et doivent ĂȘtre prĂȘchĂ©es et entendues par amour pour Dieu et pour son peuple. Car Ă  cause de toutes ces fausses doctrines antinomistes et judĂ©ophobes, beaucoup d’enfants de Dieu sont privĂ©s de grandes bĂ©nĂ©dictions. Il est dommage qu’aujourd’hui encore, des hommes et des femmes de Dieu Ă©tablis dans le service divin et pourtant sensĂ©s par ailleurs, perpĂ©tuent un enseignement totalement faux et nuisible. On comprend mieux pourquoi Paul ne voulait pas que son enseignement soit rĂ©cupĂ©rĂ© et enseignĂ© par n’importe qui comme il dira Ă  TimothĂ©e confie-le Ă  des hommes fidĂšles, qui soient capables de l’enseigner aussi Ă  d’autres. » 2 TimothĂ©e 22 Nous espĂ©rons, chers lecteurs, que ce simple et court article, en plus de vous avoir sensibilisĂ© sur l’immense importance de surveiller sa bouche et son langage, vous aura Ă©galement mis en alerte sur deux grands piĂšges que le formidable rĂ©seau internet, victime de son phĂ©nomĂ©nal succĂšs, relaie encore, et qu’il nous faut rappeler Ă  notre mĂ©moire afin de participer Ă  endiguer puis Ă  faire disparaĂźtre le mensonge 1 Le premier piĂšge est cet opprobre, ces mĂ©disances et ces calomnies publiques si facilement jetĂ©s sur les rabbins et les vrais » Sages d’IsraĂ«l dont certains blogs et/articles se font les porteurs par ignorance, ressentiments, coeurs blessĂ©s, mĂ©chancetĂ©, antisĂ©mitisme, judĂ©ophobie, etc. Leurs auteurs se plaisent Ă  amalgamer insidieusement les Sages d’IsraĂ«l avec de faux sages » tels que les sadducĂ©ens ou certains pharisiens corrompus dĂ©peints dans les Ă©crits de l’Alliance RenouvelĂ©e Nouveau Testament et ils ne voient mĂȘme pas que se faisant, ils reproduisent Ă  leur Ă©chelle, un autodafĂ© spirituel. C’est ici un grand tort, une grave calomnie et un considĂ©rable mensonge jetĂ©s dans les coeurs de ceux dont les dĂ©fenses spirituelles ne sont pas encore assez solides pour rĂ©sister et ne pas ĂȘtre atteints par de telles fourberies. Si le niveau spirituel actuel permettait que la tsaraat lĂšpre biblique apparaisse sur la peau des croyants, nous serions abasourdis de voir une multitude frappĂ©e par cette plaie. En effet, on nous a communiquĂ© que certains individus vont jusqu’à utiliser certains versets pour jeter le discrĂ©dit sur l’enseignement des rabbins et des Sages vĂ©ritables d’IsraĂ«l en prĂ©tendant que le prophĂšte JĂ©rĂ©mie parlerait d’eux Comment pouvez-vous dire Nous sommes sages, La loi de l’Éternel est avec nous? C’est bien en vain que s’est mise Ă  l’oeuvre La plume mensongĂšre des scribes. Les sages sont confondus, Ils sont consternĂ©s, ils sont pris; Voici, ils ont mĂ©prisĂ© la parole de l’Éternel, Et quelle sagesse ont-ils ? » JĂ©rĂ©mie 88. Seul un esprit malin provenant de la Sitra Ahra mauvais cĂŽtĂ©s, forces impures peut tordre ainsi les versets. En effet, ces mĂȘmes personnes se garderont bien volontiers de citer quantitĂ© d’autres versets Ă©voquant les Sages d’IsraĂ«l approuvĂ©s de Dieu L’enseignement du sage est une source de vie, Pour dĂ©tourner des piĂšges de la mort. » Proverbes 1314 ; La langue des sages apporte la guĂ©rison » Proverbes 1218 ; Celui qui frĂ©quente les sages devient sage » Proverbes 1320 ; Les lĂšvres des sages rĂ©pandent la science » Proverbes 157 ; PrĂȘte l’oreille, et Ă©coute les paroles des sages » Proverbes 2217, etc. Le verset de JĂ©rĂ©mie est une rĂ©primande de l’Éternel adressĂ©e Ă  ceux qui, en toute gĂ©nĂ©ration, sont impĂ©nitents, orgueilleux et faux prophĂštes, malgrĂ© toute leur connaissance de la Torah. Les Sages authentiques, humbles et repentants parmi le peuple de Dieu ne sont pas ici concernĂ©s. Que chacun use de sa raison et de son bon sens pour vĂ©rifier si l’enseignement des Sages de ce prĂ©sent article et de tout ce site web qui s’en inspire, est mensonger et/ou mĂ©prisant vis-Ă -vis de la Parole de Dieu et de la Loi de l’Éternel
 Ainsi, bien malheureusement aveuglĂ© par une forme de haine du judaĂŻsme dont les racines sont complexes et multiples, ces personnes sont devenues incapables de voir que le prophĂšte JĂ©rĂ©mie ne parle jamais des vrais Sages d’IsraĂ«l, mais de ceux qui, se faisant passer pour Sage, ont Ă©crit et enseignĂ© des choses frauduleuses. Oui les deux existent, qui pourrait le nier ? Mais malheur Ă  celui qui gĂ©nĂ©ralise, amalgame et fait publiquement passer le blĂ© pour de l’ivraie en omettant d’affirmer que le bon blĂ© existe aussi, et en quantitĂ© ! Certes, comme partout, mĂȘme au sein du vaste et immense ocĂ©an littĂ©raire d’IsraĂ«l, il se trouve du blĂ© et de l’ivraie. Mais n’oublions pas les trĂšs Saintes Paroles que le Messie nous a laissĂ© dans une de Ses lumineuses paraboles D’oĂč vient donc qu’il y a de l’ivraie ? Il leur rĂ©pondit C’est un ennemi qui a fait cela. Et les serviteurs lui dirent Veux-tu que nous allions l’arracher ? Non, dit-il, de peur qu’en arrachant l’ivraie, vous ne dĂ©raciniez en mĂȘme temps le blĂ©. » Matthieu 1327-29 2 Le deuxiĂšme piĂšge est ce dĂ©tournement des propos du Messie YĂ©shoua lorsqu’il parle de ce qui rentre dans la bouche. Il faut le dire sans animositĂ© faute d’un examen approfondi des paroles du MaĂźtre YĂ©shoua JĂ©sus, nombreux sont ceux qui continuent de tordre le sens de plusieurs versets de l’Évangile portant sur la cacherout. Ils enseignent que le Roi des juifs aurait mis un terme aux lois alimentaires cacherout ou en aurait diminuĂ© la portĂ©e; contredisant Ses propres paroles en Matthieu 517-19, YĂ©shoua enseignerait ainsi Ă  annuler et abolir La Torah de Son PĂšre, qu’à Dieu ne plaise ! La vĂ©ritĂ© est bien plus simple et Ă©vidente comme Ă  son habitude et dans le mĂȘme esprit que les vrais Sages d’IsraĂ«l, YĂ©shoua ne fait que remettre les pendules Ă  l’heure et les choses en faisant le focus sur l’essentiel avant d’ĂȘtre mĂ©ticuleux avec ce qui rentre dans notre bouche, surveillons avant tout et de trĂšs prĂšs ce qui en sort, et soyons tout particuliĂšrement attentif et soigneux avec les lois du langage, SANS NÉGLIGER LES AUTRES CHOSES » Matthieu 2323. L’exercice est pĂ©rilleux, le chemin est vĂ©ritablement resserrĂ©, nous sommes tous plus ou moins fautifs dans ce domaine, mais avec de la bonne volontĂ© et l’Éternel pour Conducteur, Conseiller et Soutien en YĂ©shoua, nous progresserons certainement ensemble dans la bonne direction. Par les mĂ©rites infinis du Messie d’IsraĂ«l, que l’Éternel, dans Sa bontĂ© et Sa Sagesse Glorieuses et Redoutables, puisse nettoyer nos coeurs des fausses doctrines et nos bouches du mal, des mĂ©disances et des calomnies, qu’Il puisse nous accorder une saine alimentation, nous aider dans ce chemin, et balayer la confusion et le mensonge qui rĂšgnent au sujet de Son Messie et du peuple juif. Amen vĂ© amen. Étude et partage rĂ©alisĂ©s par la seule grĂące infinie d’HaShem Dieu et avec la prĂ©cieuse aide des rabbanim d’aujourd’hui et des sages d’IsraĂ«l d’autrefois. Source Partage inspirĂ© de la Perles Du Savoir n° 33 Combattons le flĂ©au de la mĂ©disance en Ă©tudiant ensemble les Lois du Langage RĂ©agissez Ă  cet article en laissant un commentaire ! Note importante relative aux articles et vidĂ©os faisant intervenir Ă  la fois des juifs, des rabbins, des chrĂ©tiens et des pasteurs Plusieurs sont Ă©tonnĂ©s et parfois mĂȘme choquĂ©s de voir cĂŽte Ă  cĂŽte, dans une mĂȘme vidĂ©o des rabbins et des pasteurs n'ayant pas toujours les mĂȘmes convictions religieuses. Il convient alors de prĂ©ciser qu'en dehors des citations ou autres extraits de sources externes repris dans les Ă©tudes, nous ne cautionnons pas forcĂ©ment tous les propos et les enseignements des personnes ou des rĂ©fĂ©rences et autres sites web citĂ©s chaque homme est faillible, nul ne possĂšde toute la vĂ©ritĂ©, chacun doit donc ĂȘtre attentif et ne retenir que ce qui lui semble bon et en accord avec les voies de Dieu et la bonne nouvelle du Messie YĂ©shoua examinez toutes choses; retenez ce qui est bon; » 1 Thessalonicien 521. Sur ce site web, nous usons donc de notre libertĂ© en YĂ©shoua » Galates 24 pour citer et utiliser, lorsque cela s’avĂšre nĂ©cessaire et utile pour nous faire grandir dans la comprĂ©hension du plan divin et de la volontĂ© de Dieu, le travail d’hommes ou de femmes parfois rattachĂ©s Ă  d’autres confessions, mais que nous publions tout de mĂȘme en raison de la qualitĂ© de leur contribution dans des domaines particuliers, bien que nous ne les rejoignons pas forcĂ©ment dans toute leur doctrine. En outre, cela nous invite Ă  nous exercer Ă  vivre cette maxime des sages Qui est sage ? Celui qui apprend de chaque homme [
] Le sage n’est pas celui qui a acquis des connaissances Ă©tendues dans tous les domaines, mais celui qui est capable d’apprendre de chacun » PirqĂ© Avot. Si nous ne suivons pas cette maxime, nous nous Ă©loignons alors de la sagesse pour rejoindre les rangs de ceux dont l’esprit est encombrĂ© par l’intolĂ©rance et le lĂ©galisme qui est l’étroitesse d’esprit, qu’à Dieu ne plaise ! Pour de plus amples informations, voir la dĂ©claration de foi Note sur les commentaires les commentaires ne sont publiĂ©s que s'ils sont conformes Ă  La Politique De ModĂ©ration du site Lire la politique de modĂ©ration Veuillez citer la source lors de toute copie partielle ou complĂšte des contenus de ce site web, ainsi que le rappellent justement les maximes des pĂšres PirqĂ© Avot Quiconque cite l’auteur d’une parole amĂšne la dĂ©livrance dans le monde ». Pour le reste, c’est entre vous et Dieu qui sonde les cƓurs et qui rendra Ă  chacun selon ses Ɠuvres. Lemaistre de Sacy - 1701 - SAC DeutĂ©ronome ne les adorerez et ne les servirez point. Car je suis le Seigneur, votre Dieu ; un Dieu jaloux, qui punis l’iniquitĂ© des pĂšres sur les enfants jusqu’à la troisiĂšme et quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui me haĂŻssent ;David Martin - 1744 - MARDeutĂ©ronome ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car je suis l’Éternel ton Dieu, le [Dieu] Fort qui est jaloux, [et ] qui punis l’iniquitĂ© des pĂšres sur les enfants, jusqu’à la troisiĂšme et Ă  la quatriĂšme [gĂ©nĂ©ration] de ceux qui me - 1811 - OSTDeutĂ©ronome ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car je suis l’Éternel ton Dieu, un Dieu jaloux, qui punis l’iniquitĂ© des pĂšres sur les enfants, jusqu’à la troisiĂšme et Ă  la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui me haĂŻssent ;Ancien Testament Samuel Cahen - 1831 - CAHDeutĂ©ronome ne te prosterneras pas devant elles, tu ne les serviras pas, car je suis l’Éternel ton Dieu, Dieu jaloux, rappelant l’iniquitĂ© des pĂšres sur les enfants jusqu’à la troisiĂšme et quatriĂšme gĂ©nĂ©ration pour mes ennemis ;Les Évangiles de FĂ©licitĂ© Robert de Lamennais - 1846 - LAMDeutĂ©ronome verset n’existe pas dans cette traduction !Perret-Gentil et Rilliet - 1869 - PGRDeutĂ©ronome ne les adoreras point et ne te laisseras point aller Ă  les servir, car je suis l’Éternel, ton Dieu, un Dieu jaloux qui chĂątie l’iniquitĂ© des pĂšres sur les fils et sur la troisiĂšme et sur la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui me haĂŻssentBible de Lausanne - 1872 - LAUDeutĂ©ronome ne te prosterneras point devant elles et tu ne les serviras point ; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, visitant l’iniquitĂ© des pĂšres sur les fils, et sur la troisiĂšme et sur la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui me haĂŻssent,Nouveau Testament Oltramare - 1874 - OLTDeutĂ©ronome verset n’existe pas dans cette traduction !John Nelson Darby - 1885 - DBYDeutĂ©ronome ne t’inclineras point devant elles et tu ne les serviras point ; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui visite l’iniquitĂ© des pĂšres sur les fils, et sur la troisiĂšme et sur la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui me haĂŻssent,Nouveau Testament Stapfer - 1889 - STADeutĂ©ronome verset n’existe pas dans cette traduction !Bible AnnotĂ©e - 1899 - BANDeutĂ©ronome ne te prosterneras point devant elles et tu ne les serviras point ; car je suis l’Éternel ton Dieu, un Dieu jaloux, punissant les crimes des pĂšres sur les fils, sur la troisiĂšme et sur la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration pour ceux qui me haĂŻssent,Ancien testament Zadoc Kahn - 1899 - ZAKDeutĂ©ronome ne te prosterneras point devant elles, tu ne les adoreras point car moi seul, l’Éternel, je suis ton Dieu, Dieu jaloux, qui poursuis le crime des pĂšres sur la troisiĂšme et la quatriĂšme gĂ©nĂ©rations, pour ceux qui m’offensent,Glaire et Vigouroux - 1902 - VIGDeutĂ©ronome ne les adoreras et ne les serviras point. Car je suis le Seigneur ton Dieu, un Dieu jaloux, qui punit l’iniquitĂ© des pĂšres sur les enfants jusqu’à la troisiĂšme et la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui me haĂŻssent ;Bible Louis Claude Fillion - 1904 - FILDeutĂ©ronome ne les adorerez et ne les servirez point. Car Je suis le Seigneur votre Dieu, un Dieu jaloux, qui punit l’iniquitĂ© des pĂšres sur les enfants jusqu’à la troisiĂšme et la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui Me haĂŻssent;Louis Segond - 1910 - LSGDeutĂ©ronome ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquitĂ© des pĂšres sur les enfants jusqu’à la troisiĂšme et Ă  la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui me haĂŻssent,Nouveau Testament et Psaumes - Bible Synodale - 1921 - SYNDeutĂ©ronome verset n’existe pas dans cette traduction !Bible Augustin Crampon - 1923 - CRADeutĂ©ronome ne te prosterneras point devant eux et ne les serviras point ; car moi, Yahweh, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, punissant l’iniquitĂ© des pĂšres sur les enfants, sur la troisiĂšme et sur la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration, pour ceux qui me haĂŻssent,Bible Pirot-Clamer - 1949 - BPCDeutĂ©ronome ne te prosterneras pas devant elles et ne les honoreras pas, car moi, Yahweh, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, punissant l’iniquitĂ© des pĂšres sur les enfants et les descendants jusqu’à la troisiĂšme et quatriĂšme gĂ©nĂ©ration pour ceux qui me haĂŻssent,Bible de JĂ©rusalem - 1973 - JERDeutĂ©ronome ne te prosterneras pas devant ces dieux ni ne les serviras. Car moi, YahvĂ©, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis la faute des pĂšres sur les enfants, les petits-enfants et les arriĂšre-petits-enfants, pour ceux qui me haĂŻssent,Nouveau Testament Osty et Trinquet - 1974 - TRIDeutĂ©ronome verset n’existe pas dans cette traduction !Segond Nouvelle Édition de GenĂšve - 1979 - NEGDeutĂ©ronome ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquitĂ© des pĂšres sur les enfants jusqu’à la troisiĂšme et Ă  la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui me haĂŻssent,Bible AndrĂ© Chouraqui - 1985 - CHUDeutĂ©ronome ne te prosterneras pas devant elles, tu ne les serviras pas, oui, moi-mĂȘme, IHVH-AdonaĂŻ, ton ElohĂźms, l’Él ardent, je sanctionne le tort des pĂšres sur les fils, sur les troisiĂšmes et sur les quatriĂšmes, pour mes Évangiles de SƓur Jeanne d’Arc - 1990 - JDCDeutĂ©ronome verset n’existe pas dans cette traduction !Les Évangiles de Claude Tresmontant - 1991 - TREDeutĂ©ronome verset n’existe pas dans cette traduction !Bible des Peuples - 1998 - BDPDeutĂ©ronome ne te prosterneras pas devant celles-ci et tu ne les serviras pas, car moi, YahvĂ© ton Dieu, je suis un Dieu jaloux. Je punis la faute des pĂšres sur les fils, les petits-fils et les arriĂšre-petits-fils lorsqu’ils me 21 - 2007 - S21DeutĂ©ronome Tu ne te prosterneras pas devant ces choses et tu ne les serviras pas, car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux. Je punis la faute des pĂšres sur les enfants jusqu’à la troisiĂšme et Ă  la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui me dĂ©testent,King James en Français - 2016 - KJFDeutĂ©ronome ne t’inclineras pas devant elles, et tu ne les serviras pas; car moi, le SEIGNEUR ton Dieu, suis un Dieu jaloux, visitant l’iniquitĂ© des pĂšres sur les enfants, jusqu’à la troisiĂšme et Ă  la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration de ceux qui me haĂŻssent,La Septante - 270 avant JĂ©sus-Christ - LXXDeutĂ©ronome Ï€ÏÎżÎșÏ…ÎœÎźÎ”Îč Î±áœÎżáż– ÎżáœÎŽáœČ Όᜎ Î»Î±ÏÎ”Ïáżƒ Î±áœÎżáż– ᜅÎč áŒÎłÏŽ ΔጰΌÎč ÎșύρÎčÎż ᜁ ΞΔ ÎżÏ… ΞΔ᜞ ζηλᜎ áŒ€Ï€ÎżÎŽÎčÎŽÎżáœș áŒÎŒÎ±ÏÎŻÎ± παέρΜ ጐπ᜶ έÎșΜα ጐπ᜶ ÏÎŻÎ·Îœ Îșα᜶ Î”ÎŹÏÎ·Îœ ÎłÎ”ÎœÎ”áœ°Îœ οῖ ÎŒÎčÎżáżŠÎŻÎœ Vulgate - 1454 - VULDeutĂ©ronome adorabis ea et non coles ego enim sum Dominus Deus tuus Deus aemulator reddens iniquitatem patrum super filios in tertiam et quartam generationem his qui oderunt meAncien testament hĂ©breu - Biblia Hebraica Stuttgartensia - 1967 - BHSDeutĂ©ronome ŚœÖžŚ”Ö¶Ö–ŚÖź Ś•Ö°ŚœÖčÖŁŚ ŚȘÖžŚąÖžŚ‘Ö°Ś“Ö”Ö‘ŚÖ’ Ś›ÖŒÖŽÖŁŚ™ ŚÖžŚ ÖčŚ›ÖŽÖžŚ™ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ€Ś” ڐֱڜÖčŚ”Ö¶ÖšŚ™ŚšÖžÖ™ ŚÖ”ÖŁŚœ Ś§Ö·Ś ÖŒÖžÖ”Ś Ś€Ö ÖŒÖčŚ§Ö”Ś“ ŚąÖČŚ•ÖčÖšŚŸ ŚÖžŚ‘ÖčÖ§Ś•ŚȘ ŚąÖ·ŚœÖŸŚ‘ÖŒÖžŚ ÖŽÖ›Ś™Ś Ś•Ö°ŚąÖ·ŚœÖŸŚ©ŚÖŽŚœÖŒÖ”Ś©ŚÖŽÖ„Ś™Ś Ś•Ö°ŚąÖ·ŚœÖŸŚšÖŽŚ‘ÖŒÖ”ŚąÖŽÖ–Ś™Ś ŚœÖ°Ś©Ś‚ÖčŚ Ö°ŚÖžÖœÖ‘Ś™ŚƒNouveau testament grec - 2010 - SBLGNTDeutĂ©ronome verset n’existe pas dans cette traduction !

dieu punit la faute des pĂšres sur les fils