Santédu voyageur au Sénégal. Moustiques au Sénégal début avril: vaccin contre la fièvre jaune? J'ai un voyage prévu au sénégal du 30 mars au 12 avril 2013 mais à cause d'un pb medical le vaccin contre la fievre jaune est contre indiqué pour moi. Je sais qu'il n est plus obligatoire et trés
Noussommes allés au Sénégal plus de 30 fois ces 20 dernières années, et y avons emmené au moins 15 amis. Nous sommes personnellement vaccinés contre la fièvre jaune, car c'est une saleté. Pour le palu, nous n'avons jamais pris le moindre traitement, ça ne sert à rien. Si vous ne voulez pas prendre de risques, vaccinez-vous contre la
1 Se faire vacciner contre la fièvre jaune. Bien qu’aucune vaccination ne soit obligatoire, il est recommandé de faire le vaccin de la fièvre jaune pour le Sénégal. La fièvre jaune est une maladie hémorragique virale aigue transmise par des moustiques infectés, autant d’en protéger . Ce vaccin est à faire au moins 10 jours
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Lesressortissants des États membres de l’Union européenne ne sont ainsi plus soumis à l’obtention préalable d’une Autorisation Spéciale d’Embarquer (ASE) pour les voyages à destination du Sénégal. Ces
Ila ensuite été officiellement confirmé la semaine dernière dans le laboratoire de référence au Sénégal. Rappels sur la fièvre jaune: 2005 prend effet et liera tous les États Parties au Règlement sanitaire international à compter du 11 juillet 2016. Par conséquent, à compter du 11 juillet 2016, aucun État ne peut exiger des voyageurs internationaux, pour les
Plusde 15 millions de personnes seront vaccinées à partir du mois d’août en Angola et en RDC pour éradiquer l'épidémie de fièvre jaune, a indiqué l'OMS jeudi. Le coût de cette campagne
ymO1G5. La fièvre jaune est une infection virale transmise par les moustiques. La maladie commence par un syndrome grippal intense, avec une forte fièvre. Dans environ 15 % des cas, elle se complique rapidement par une jaunisse, une hémorragie des muqueuses et des vomissements sanglants. Le foie, les reins et le cœur peuvent être sérieusement atteints. La mort survient dans 50 à 80 % des cas. Il n’existe pas de traitement spécifique. Quand vaccine-t-on contre la fièvre jaune ? La vaccination contre cette maladie dite vaccination anti-amarile est indispensable, dès l’âge de neuf mois parfois 6 mois si nécessaire, pour tout séjour dans une région située entre les tropiques, en Afrique ou en Amérique du Sud, même en l’absence d’obligation administrative. Attention, lorsque l’on vient d’un pays infecté, la vaccination peut être obligatoire pour pénétrer dans de très nombreux pays. La vaccination est obligatoire pour les résidents en Guyane et les voyageurs qui s'y rendent. En 2016, en raison de la réapparition et de l’extension géographique de la fièvre jaune au Brésil, la carte des zones où la vaccination contre cette maladie est recommandée a été modifiée. Le Pérou est également concerné. Les pays qui exigent une vacccination contre la fièvre jaune à jour et où la maladie est présente sont l'Angola, le Burundi, le Congo, la Côte d'Ivoire, le Gabon, le Ghana, la Guinée Bissau, le Mali, le Niger, l'Ouganda, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo, la Sierra Leone, le Soudan du Sud, le Tchad et le Togo. En plus de ces pays, la fièvre jaune est présente dans certaines régions de l'Argentine, du Bénin, de Bolivie, du Brésil, du Burkina Faso, du Cameroun, de Colombie, d'Equateur, d'Ethiopie, de Gambie, de Guinée, de Guinée équatoriale, de Guyana, du Kenya, du Liberia, du Nigeria, du Panama, du Paraguay, du Pérou, du Sénégal, du Soudan, du Suriname, de Trinité-et-Tobago et du Vénézuela. Cette vaccination NE dispense PAS de se protéger des moustiques, capables de transmettre d’autres maladies infectieuses pour lesquelles il n’existe pas de vaccin. Quel est le schéma de vaccination contre la fièvre jaune ? La vaccination contre la fièvre jaune repose sur une dose de vaccin au moins 10 jours avant le départ pour les adultes, les enfants et les nourrissons de plus de 9 mois. Suite à la suppression par l'OMS des rappels tous les 10 ans, la validité du certificat de vaccination antiamarile est prolongée à vie depuis le 1er juillet 2016. Pour quelques exceptions, une deuxième dose de vaccin est recommandée en cas de nouveau voyage dans une zone à risque enfant de plus de 6 ans ayant été vacciné avant 2 ans, vaccination datant de plus de 10 ans chez une femme vaccinée au cours de la grossesse, chez des personnes immunodéprimées ou en cas d’épidémie dans le pays visité. En France métropolitaine, le vaccin est uniquement disponible dans les centres agréés retrouvez les centres de vaccination anti-amarile en France. Comme il s’agit d’un vaccin contenant un virus atténué, mais vivant, la vaccination contre la fièvre jaune est déconseillée chez la femme enceinte et l’enfant de moins de 9 mois. Néanmoins, si le risque d’infection le justifie, elle peut être pratiquée pendant la grossesse et chez le nourrisson entre 6 et 9 mois. Il est également recommandé de différer la vaccination chez les femmes qui allaitent des nourrissons de moins de 6 mois. Si la vaccination est nécessaire pendant cette période, l'allaitement doit être suspendu pendant les deux semaines qui suivent l'injection. Lorsque le vaccin contre la rougeole doit être administré, il est nécessaire de respecter un intervalle minimum d’un mois entre les deux vaccinations. Néanmoins, en cas de départ imminent, les 2 injections peuvent être rapprochées, voire simultanées. Liste des médicaments mise à jour Vendredi 15 Avril 2022 Légende Médicament ayant des présentations disponibles sans ordonnance Quelles sont les contre-indications au vaccin contre la fièvre jaune ? La vaccination est contre-indiquée en cas d’ablation ou de dysfonctionnement du thymus et en cas de déficit immunitaire héréditaire ou acquis personne ayant eu une transplantation d’organe, infection à VIH/sida, si le taux de lymphocytes CD4 est inférieur à 200/mm3, lors de chimiothérapie anticancéreuse et pendant les 6 mois qui suivent son arrêt, pendant un traitement immunosuppresseur et les 3 mois qui suivent l’arrêt, certaines maladies rares exposant à une baisse de l’immunité. La vaccination est possible chez les personnes âgées, mais elle n'est faite qu'après une évaluation de ses bénéfices et de ses risques selon l'état de santé du patient. Les personnes souffrant de drépanocytose non traitées ou traitées par hydroxycarbamide HYDREA, SYKLOS peuvent être vaccinées. Lorsque la vaccination ne peut être faite, les voyages dans les zones où sévit la maladie sont formellement déconseillés. Néanmoins, en cas de contre-indication, le médecin ou le centre de vaccination agréé remet deux certificats au voyageur. Le premier explique la raison de la contre-indication en français, en anglais et, si possible, dans la langue du pays visité. Le deuxième est placé dans le carnet de vaccination international et indique qu'il existe une contre-indication au vaccin. Les autorités sanitaires du pays visité peuvent néanmoins imposer des mesures d'isolement ou de surveillance pendant cinq jours après l’arrivée. Les donneurs de sang ne doivent pas donner leur sang durant les quatre semaines qui suivent la vaccination.
Le Figaro Santé C’est un geste impliquant votre responsabilité personnelle et collective. Elle permet de vous protéger contre la survenue d'une maladie contagieuse et de réduire votre responsabilité dans son risque de vaccination contre la fièvre jaune n’est pas obligatoire sauf pour les voyageurs en provenance d’une zone recommandéesCalendrier vaccinal à jourDiphtérie-Tétanos-PoliomyéliteCoqueluche et rougeoleHépatite AFièvre jauneConseilléesHépatite BTyphoïde si le séjour doit se dérouler dans des conditions d'hygiène précaires ; pour les enfants à partir de l'âge de 2 ans.Méningite à méningocoque ACYW135 en cas de séjour prolongé en contact étroit avec la population locale, ou en période d’épidémie.Rage, à titre préventif pour des séjours prolongés en situation d'isolement ; pour les enfants dès qu'ils sont en âge de marcher. La vaccination contre la rage ne dispense pas d'un examen médical en cas de impossible d’accéder dans ce pays sans un carnet de vaccination international attestant que vous êtes correctement recommandées ces vaccinations vous protégeront contre un risque réel. Il est de votre intérêt de vous faire en fonction du type de voyage que vous effectuez ou de l'activité que vous aurez.
Pourquoi se faire vacciner?La fièvre jaune est une maladie virale aiguë transmise à l’homme par la piqûre de certaines espèces de moustiques Aedes, Haemogogus.La fièvre jaune est une zoonose, c’est à dire une maladie qui se transmet des animaux vertébrés à l’homme et vice-versa. Le virus responsable de la maladie se propage du singe au singe, du singe à l’homme et de l’homme à l’homme par l’intermédiaire des moustiques 12.La fièvre jaune sévit dans les régions intertropicales d’Afrique et d’Amériques où elle est parfois responsable d’épidémies très meutrières 3.En Afrique La fièvre jaune est endémique dans 33 pays d’Afrique intertropicale. Classiquement elle se localise entre 15° de latitude nord et 15° de latitude sud 3Fièvre jaune en Afriquesource OMS 1997 4Aux Amériques La fièvre jaune est endémique dans toute la région du bassin amazonien et dans la partie méridionale de l’Amérique Centrale. Classiquement elle se localise entre 10° de latitude nord et 20° de jaune en Amérique du Sudsource OMS 1997 4source OMS 1997 4L’Asie intertropicale est mystèrieusement épargnée, mais la présence conjointe des moustiques et du réservoir animal les singes font qu’un grand nombre de pays asiatiques exigent un certificat de vaccination des voyageurs en provenance des pays infectés 3.Le CDC d’Atlanta publie 2 fois par semaine la liste des pays infectés par la fièvre jaune. Cette liste peut servir de référence pour l’exigence d’un certificat de vaccination amarile par certains pays pour les voyageurs en provenance des pays de cette liste. Vous pouvez consultez cette liste, aussi appelée Blue Sheet sur le serveur internet du CDC d’AtlantaPAYS INFECTES PAR LA FIEVRE JAUNE - AfriqueAngola Provinces Bengo & LuandaBénin Département AtakoraBurkina Faso Région de GaouaBotswanaCameroun Province du NordCôte d'ivoireEthiopieRépublique démocratique du Congo Nord du 10ème parallèle SudGabon Province Ogooue’-IvindoGambie Région d’ Upper RiverGhana Région Upper WestGuinée Région de SiguiriKenyaLibéria Comtés de Boma , Bong , Bassa, SinoeMaliNigerNigéria Etats Anambra, Bauchi, Bendel, Benue, Cross River, Imo, Kaduna, Kwara, Lagos, Niger, Ogun, Ondo, Oyo, et Léone District de KenemaSoudan Sud du 12ème parallèle NordTchadTogo ZambieZimbabwe- Amérique du SudBolivie Départements Beni, Cochabamba, La Paz et Santa Territoires Amapa Etats Amazonas, Maranhao,Mato Grosso, ParaColombie Départements Antioquia, Boyaca, Cesar, Choco, Cundinamarca, Norte de Santander, Santander, and Arauca, Caqueta, Casanare, Cucuta, Guaviare, Meta, et Provinces Morona-Santiago, Napo, Pastaza, Sucumbios et Zamora Française Région de Saint Laurent-du-MoroniParaguayPérou Départements Amazonas, Ancash, Ayacucho, Cusco, Huanuco, Junin, Loreto, Madre de Dios, Puno, Pasco, San Martin et La maladie est de sévérité variable en fonction du statut immunitaire de la personne infectée et probablement de la virulence de la souche infectante 2.Les formes inapparentes ou atténuées sont heureusement prédominantes, mais dans ses formes graves, la fièvre jaune se caractérise par une hépatonéphrite infection du foie et des reins hémorragique souvent mortelle qui évolue classiquement en deux phases séparées par une rémission de quelques heures 2Après 3 à 6 jours d’incubation, la maladie débute par une fièvre d’apparition brutale, des douleurs du dos, des maux de tête, des nausées et des vomissements accompagnés d’une soif intense. Le faciès est vultueux, les yeux sont injectés de sang phase rouge.Après une courte période de rémission pendant laquelle la fièvre et les signes généraux s’atténuent, le malade voit son état s’aggraver avec remontée brutale de la fièvre, apparition d’une jaunisse phase jaune - qui donne son nom à la maladie et de manifestations hémorragiques vomissements de sang noir caractéristiques le vomito negro qui traduisent l’atteinte du foie. L’atteinte rénale se manifeste par une protéinurie et une oligurie volume des urinesLe malade d’abord agité et anxieux devient progressivement prostré au fur et à mesure que la défaillance hépatique, circulatoire et rénale progresse pour aboutir au coma et à la mort dans près de la moitié des cas. Au cours de certaines flambées épidémiques, le taux de mortalité peut dépasser 50% chez les adultes non immuns et 70% chez les enfants 5. Si le malade survit, la guérison est sans séquelle et procure une immunité solide et durable 6. La convalescence s’accompagne d’une asthénie importante qui persistera 3 mois environ 7.Il n’y a pas de traitement curatif spécifique, et le traitement symptomatique est vaccination a une efficacité quasi absolue; elle est simple, très bien tolérée et, de surcroît, administrativement exigible 4.Qui doit se faire vacciner?La vaccination est fortement recommandée, dès l’âge de 6 mois, aux personnes voyageant, même pour une courte durée, et a fortiori aux personnes résidant en zone d ’endémie6. Elle est également conseillée chez les personnes non vaccinées se rendant d’une zone endémique dans une zone réceptive. Le règlement sanitaire international autorise en effet tout Etat se trouvant dans une zone de réceptivité à exiger un certificat de vaccination à jour de toute personne âgée de plus d’un an pénétrant sur son territoire6Qui ne doit pas se faire vacciner?La vaccination est contre-indiquée chez les personnes suivantes - les personnes immunodéprimées - les personnes atteintes d’une maladie maligne évolutive - les nourrissons de moins de 6 mois - les femmes enceintes Il est souhaitable de différer un voyage dans la zone d’endémicité amarile après l’accouchement. S’il est impossible de surseoir au voyage et que l’exposition au risque est inévitable et régulière, le médecin vaccinateur pourra recommander la vaccination contre la fièvre jaune car le risque théorique de la vaccination pour la mère et le foetus est inférieur au risque de la fièvre jaune 8. Cette décision ne peut être prise qu’au cas par cas lieu de séjour, âge de la grossesse.... - Les personnes allergiques aux protéines de l’ cas de contre-indication, un certificat de contre-indication à la vaccination amarile sera rédigé si possible dans la langue du pays de destination. Tous les pays n’accordant pas de dérogation, il est nécessaire de se renseigner auprès de l’ se faire vacciner?La primovaccination amarile comprend une seule injection sous-cutanée ou intramusculaire dix jours au moins avant le règlement sanitaire international exige une injection de rappel tous les 10 vaccination doit être effectuée dans un centre de vaccination agréé. Ces centres sont les seuls habilités à effectuer la vaccination amarile et à délivrer les certificats exigés par le règlement sanitaire international "carnet jaune". La période de validité d’un certificat international de vaccination contre la fièvre jaune est de dix ans, à compter du dixième jour qui suit la vaccination. Dans le cas d’une personne revaccinée avant l’expiration de cette période, la validité est prolongée pour une nouvelle période de dix ans à compter du jour de la revaccination. Lorsque la revaccination est enregistrée sur un nouveau certificat, il est recommandé aux voyageurs de garder l’ancien certificat pendant dix jours jusqu’à ce que le nouveau certificat devienne partir de quand suis-je protégé?L’immunité apparaît environ une semaine après la vaccination chez 95% des personnes vaccinées. La durée de l’immunité conférée par la vaccination est très certainement supérieure aux dix ans admis par précaution pour la validité du certificat de vaccination international 3.Notre NewsletterRecevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de adresse mail est collectée par pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus.
Généralités La fièvre de la Vallée du Rift FVR est une zoonose virale qui touche principalement les animaux mais qui peut aussi contaminer l’homme. L’infection peut provoquer une pathologie sévère tant chez l’animal que chez l’homme. Elle entraîne également des pertes économiques considérables, liées à la mort et à l’avortement des animaux dans les troupeaux infectés. Le virus de la FVR appartient au genre Phlebovirus. Il a été identifié pour la première fois en 1931 lors d’une enquête sur une épidémie touchant les moutons d’une ferme de la Vallée du Rift, au Kenya. Depuis lors, des flambées ont été signalées en Afrique subsaharienne. En 1977, une flambée explosive s’est déclarée en Égypte suite à l’introduction du virus de la FVR dans ce pays par le commerce de bétail le long du système d’irrigation du Nil. En 1997 et 1998, une flambée importante est survenue au Kenya, en Somalie et en Tanzanie suite à un événement El Niño et à de fortes inondations. En septembre 2000, le commerce de bétail infecté provenant de la Corne de l’Afrique a entraîné la propagation du virus de la FVR à l’Arabie saoudite et au Yémen. C’était la première fois que la maladie était observée en dehors du continent africain, suscitant des inquiétudes quant à sa propagation possible vers d’autres régions de l’Asie et de l’Europe. Transmission à l’être humain Dans la majorité des cas, l’infection chez l’homme résulte d’un contact direct ou indirect avec du sang ou des organes d’animaux contaminés. Le virus peut se transmettre à l’homme lors de la manipulation des tissus animaux au cours de l’abattage ou de la découpe, pendant les mises-bas et les interventions vétérinaires ou lors de l’élimination des carcasses ou des fœtus. Certains groupes professionnels, comme les éleveurs, les agriculteurs, les employés des abattoirs et les vétérinaires, sont donc plus exposés au risque d’infection. Le virus pénètre chez l’homme par inoculation, par exemple en cas de blessure avec un couteau souillé ou de contact avec une peau lésée, ou par inhalation des aérosols produits au cours de l’abattage des animaux infectés. Il semble que l’homme puisse également être contaminé en ingérant du lait cru ou non pasteurisé provenant d’animaux infectés. Des infections humaines ont également été observées à la suite de piqûres de moustiques, le plus souvent du genre Aedes et Culex. Les mouches hématophages se nourrissant de sang peuvent également transmettre le virus de la FVR. À ce jour, aucune transmission interhumaine du virus de la FVR n’a été constatée et aucun cas de transmission aux agents de santé n’a été signalé lorsque les précautions normales de lutte anti-infectieuse étaient prises. Aucune flambée de FVR en milieu urbain n’a été mise en évidence. Tableau clinique chez l’homme Forme bénigne de la FVR chez l’homme Les caractéristiques cliniques de la forme bénigne sont les suivantes La période d’incubation l’intervalle entre la contamination et l’apparition des symptômes varie de 2 à 6 jours. Les personnes infectées peuvent soit être asymptomatiques, soit présenter une forme bénigne de la maladie se caractérisant par un syndrome grippal avec apparition soudaine de fièvre, de myalgies, d’arthralgies et de céphalées. Dans certains cas, on observe aussi une raideur de la nuque, une sensibilité à la lumière, une perte de l’appétit et des vomissements; chez ces patients, il arrive que la FVR soit confondue avec la méningite. Les symptômes durent en général de 4 à 7 jours, après quoi la réaction immunitaire peut être détectée par l’apparition d’anticorps; le virus disparaît alors progressivement de la circulation sanguine. Forme grave de la FVR chez l’homme La plupart des cas chez l’homme restent relativement bénins mais une petite proportion de patients développent une pathologie beaucoup plus grave prenant en général la forme d’un ou de plusieurs des trois syndromes suivants forme oculaire 0,5 à 2% des patients, méningo-encéphalite moins de 1% ou fièvre hémorragique moins de 1%. Les caractéristiques cliniques de la forme sévère sont les suivantes Forme oculaire dans ce cas, les symptômes habituels de la forme bénigne s’accompagnent de lésions rétiniennes, qui apparaissent en général une à trois semaines après la manifestation des premiers symptômes. Les patients signalent généralement une baisse de la vision ou une gêne visuelle. La maladie peut guérir spontanément sans laisser de séquelles en 10 à 12 semaines. Cependant, lorsque les lésions se produisent près de la macula, elles entraînent une perte définitive de la vision chez 50% des patients. Les décès sont rares lorsque la pathologie se limite à cette forme de la maladie. Méningo-encéphalite la méningo-encéphalite apparaît en général une à quatre semaines après les premiers symptômes de la FVR. Parmi ses manifestations cliniques figurent d’intenses céphalées, des pertes de mémoire, des hallucinations, une désorientation, un état de confusion, des vertiges, des convulsions, la léthargie et le coma. Des complications neurologiques peuvent survenir à un stade ultérieur après 60 jours. Les décès sont rares chez les patients présentant uniquement cette forme de la maladie, mais des séquelles neurologiques parfois graves sont courantes. Fièvre hémorragique les symptômes de la fièvre hémorragique surviennent deux à quatre jours après le début de la maladie, se manifestant en premier lieu par des signes d’une atteinte hépatique grave, tels qu’un ictère. Des phénomènes hémorragiques apparaissent ensuite vomissements de sang, sang dans les selles, purpura ou ecchymoses provoqués par des saignements cutanés internes, saignements du nez ou des gencives, ménorragies et saignements aux points de ponction veineuse. Le taux de létalité pour ce syndrome hémorragique est élevé, se situant aux alentours de 50%. Le décès survient généralement trois à six jours après l’apparition des symptômes. Le virus peut être détecté dans la circulation sanguine pendant une dizaine de jours chez les patients atteints de la forme ictéro-hémorragique de la FVR. Le taux total de létalité est très variable d’une épidémie à l’autre mais s’établit globalement à moins de 1% pour les épidémies qui ont été documentées. La plupart des décès se produisent chez les patients atteints de la forme ictéro-hémorragique de la maladie. Flambées survenues depuis 2000 Forme grave de la FVR chez l’homme 2016 - République du Niger au 11 octobre 2016, le Ministère de la santé avait signalé 105 cas suspects d’infection humaine par le virus de la FVR, dont 28 mortels, dans la région de Tahoua. 2012 - République de Mauritanie le Ministère de la santé mauritanien a déclaré une flambée de FVR le 4 octobre 2012. Du 16 septembre 2012 date d’apparition du cas indicateur au 13 novembre 2012, 36 cas, dont 18 mortels, ont été notifiés au total dans 6 régions du pays. 2010 - République sud-africaine de février à juillet 2010, le Gouvernement de l’Afrique du Sud a signalé 237 cas confirmés de FVR chez l’homme, dont 26 décès, dans 9 provinces. 2008-2009 - Madagascar de décembre 2008 à mai 2009, le Ministère de la santé de Madagascar a notifié 236 cas suspects, dont 7 mortels. 2008 - Madagascar le Ministère de la santé de Madagascar a déclaré une flambée de FVR le 17 avril 2008. De janvier à juin 2008, 476 cas suspects de FVR, dont 19 mortels, ont été signalés au total dans 4 provinces du pays. 2007 - Soudan le Ministère fédéral de la santé du Soudan a déclaré une flambée de FVR le 28 octobre 2008. Au total, 738 cas, dont 230 décès, ont été notifiés au Soudan entre novembre 2007 et janvier 2008. 2006 - Kenya, Somalie et Tanzanie lors de cette flambée, le Kenya a signalé 684 cas de FVR, dont 234 mortels, du 30 novembre 2006 au 12 mars 2007; la Somalie, 114 cas, dont 51 mortels, du 19 décembre 2006 au 20 février 2007; et la Tanzanie, 264 cas, dont 109 décès, du 13 janvier au 3 mai 2007. 2003 - Égypte 148 cas de FVR, dont 27 mortels, ont été notifiés par le Ministère de la santé égyptien. 2000 - Arabie saoudite et Yémen 516 cas de FVR, dont 87 décès, ont été signalés par le Ministère de la santé d’Arabie saoudite. En 2000, le Ministère de la santé publique du Yémen a notifié 1087 cas suspects, dont 121 mortels. Diagnostic Comme les symptômes de la fièvre de la vallée du Rift sont variables et non spécifiques, le diagnostic clinique est souvent difficile, surtout aux premiers stades de la maladie. Il est difficile de distinguer la FVR des autres fièvres hémorragiques virales et des nombreuses autres maladies qui provoquent de la fièvre, notamment le paludisme, la shigellose, la fièvre typhoïde et la fièvre jaune. Le diagnostic définitif exige des analyses ne pouvant être réalisées que par des laboratoires de référence. Les échantillons de laboratoire peuvent présenter un risque biologique et nécessitent une manipulation extrêmement prudente. L’infection par le virus de la FVR ne peut être diagnostiquée avec certitude qu’en procédant aux tests de laboratoire suivants transcription inverse et amplification en chaîne par polymérase RT-PCR; titrage immuno-enzymatique ELISA des anticorps IgG et IgM; isolement du virus sur culture cellulaire. Traitement et vaccins La plupart des cas humains de FVR étant relativement bénins et de courte durée, aucun traitement spécifique ne s’impose pour ces patients. Dans les cas plus graves, l’approche thérapeutique la plus fréquente consiste à dispenser un traitement global de soutien. Un vaccin inactivé à usage humain a été mis au point. Toutefois, ce vaccin n’est pas homologué et n’est pas disponible dans le commerce. Il a été utilisé à titre expérimental pour protéger les vétérinaires et les personnels de laboratoire présentant un risque élevé d’exposition à la FVR. D’autres vaccins candidats sont à l’étude. Hôtes du virus dans le règne animal Le virus de la FVR peut contaminer de nombreuses espèces animales, provoquant une maladie grave chez certains animaux domestiques, notamment les bovins, les moutons, les chameaux et les chèvres. Il semble que les moutons et les chèvres soient plus sensibles à la maladie que les bovins ou les chameaux. Il a aussi été démontré que l’âge de l’animal constitue un facteur important de sensibilité à la forme grave de la maladie plus de 90% des agneaux infectés par la FVR meurent, alors que cette proportion peut baisser à 10% chez le mouton adulte. Le taux d’avortement chez les brebis gestantes atteint près de 100%. Souvent, une flambée animale de FVR se manifeste d’abord par une vague d’avortements inexpliqués dans le cheptel et ce peut être l’un des signes annonciateurs d’une épidémie. Écologie de la FVR et moustiques vecteurs Plusieurs espèces de moustiques peuvent jouer un rôle de vecteur dans la transmission du virus de la FVR. Les espèces dominantes à cet égard varient d’une région à l’autre et diverses espèces peuvent jouer des rôles différents dans la poursuite de la transmission virale. Chez les animaux, le virus de la FVR se transmet principalement par les piqûres de moustiques infectés, essentiellement du genre Aedes, qui acquièrent le virus en s’alimentant sur des animaux infectés. Les moustiques femelles sont également capables de transmettre le virus directement à leurs œufs. Les nouvelles générations de moustiques sont alors déjà infectées au moment de l’éclosion. Toutefois, deux situations écologiques distinctes doivent être prises en compte lors de l’analyse des grandes flambées de FVR. Au niveau des foyers primaires, le virus de la FVR se propage par transmission entre les vecteurs et leurs hôtes et subsiste par transmission verticale chez les moustiques Aedes. Lorsqu’une flambée majeure sévit dans les foyers primaires, la maladie peut se propager à des foyers secondaires par des déplacements de bétail ou la dispersion passive des moustiques, se trouvant alors amplifiée, chez les ruminants qui n'ont pas d'anticorps, par des moustiques locaux compétents, appartenant par exemple aux genres Culex, Mansonia ou Anopheles, qui jouent un rôle de vecteurs mécaniques. Les réseaux d’irrigation, où les populations de moustiques sont abondantes pendant une grande partie de l’année, sont particulièrement propices à la transmission secondaire de la maladie. Prévention et lutte Comment endiguer la FVR chez l’animal On peut prévenir les flambées de FVR chez l’animal en mettant en œuvre un programme durable de vaccination. Un vaccin vivant atténué, ainsi qu’un vaccin inactivé, ont été mis au point pour l’usage vétérinaire. Une dose unique de vaccin vivant atténué suffit à conférer une immunité à long terme, mais son administration à des femelles gestantes peut provoquer un avortement spontané. Le vaccin inactivé n’a pas cet effet secondaire, mais plusieurs doses sont nécessaires pour obtenir la protection voulue, ce qui peut poser des problèmes dans les zones d’endémicité. Pour prévenir une épizootie, la vaccination des animaux doit être mise en œuvre avant que ne survienne une flambée. Une fois qu’une flambée se déclare, il ne faut PLUS vacciner car cela risquerait fortement d’intensifier la flambée. Durant les campagnes de vaccination de masse des animaux, les agents de santé vétérinaire pourraient transmettre le virus par inadvertance en utilisant des flacons multidoses et en réemployant les aiguilles et les seringues. Si certains animaux du troupeau sont déjà infectés et virémiques bien que ne manifestant encore aucun signe patent de la maladie, le virus sera transmis dans le troupeau et la flambée s’intensifiera. La restriction ou l’interdiction des déplacements des animaux d’élevage peut être un moyen efficace de ralentir la propagation du virus d’une zone infectée vers des zones indemnes. Étant donné que les flambées animales de FVR précèdent les infections humaines, la mise en place d’un système de surveillance active de la santé animale pour détecter les nouveaux cas est essentielle pour alerter rapidement les autorités des services vétérinaires et de la santé publique. Éducation sanitaire et réduction des risques Il a été démontré qu’au cours d’une flambée de FVR, le contact étroit avec des animaux, en particulier avec leurs liquides biologiques, que ce soit directement ou par l’intermédiaire d’aérosols, constitue le facteur le plus important de risque d’infection par le virus. La sensibilisation aux facteurs de risque, ainsi qu’aux mesures individuelles de protection contre les piqûres de moustique, est le seul moyen de diminuer le nombre d’infections et de décès chez l’homme. Les messages de santé publique relatifs à la réduction des risques doivent être axés sur les points suivants diminution du risque de transmission de l’animal à l’homme résultant de pratiques dangereuses d’élevage et d’abattage. Cela implique de respecter les règles d’hygiène des mains et de porter des gants et d’autres équipements de protection adaptés lors de la manipulation d’animaux malades ou de leurs tissus, ainsi que durant l’abattage. diminution du risque de transmission de l’animal à l’homme résultant de la consommation de sang frais, de lait crû ou de viandes. Dans les régions d’épizootie, tous les produits animaux sang, viande et lait doivent être soigneusement cuits avant d’être consommés. protection individuelle et communautaire contre les piqûres de moustiques utiliser des moustiquaires imprégnées d’insecticide et des produits répulsifs individuels s’ils sont disponibles, porter des vêtements de couleur claire chemises à manches longues et pantalons et éviter les activités de plein air aux heures où les espèces vectorielles piquent le plus. Guide à l'usage des voyageurs sur la sécurité sanitaire des aliments Lutte anti-infectieuse en milieu médical Bien qu’aucune transmission interhumaine de la FVR n’ait été observée, il existe un risque théorique de transmission du virus au personnel de santé par contact avec du sang ou des tissus contaminés de patients infectés. Les soignants s’occupant de cas suspects ou confirmés de FVR doivent appliquer les précautions standard lors de la manipulation d’échantillons prélevés sur leurs patients. Ces précautions définissent les pratiques requises pour assurer un niveau minimal de lutte contre les infections. Elles sont recommandées pour les soins et le traitement de tous les patients, quel que soit leur état infectieux présumé ou confirmé. Elles s’appliquent à la manipulation du sang y compris le sang séché et de tous les autres liquides biologiques, sécrétions et excrétions à l’exclusion de la sueur, qu’ils contiennent visiblement ou non du sang, ainsi qu’au contact avec la peau lésée ou les muqueuses. Mesures de Base contre les infections associées aux soins Comme nous l’avons déjà évoqué, le personnel des laboratoires est également exposé au risque d’infection. Les échantillons prélevés sur des cas suspects de FVR, que ce soit chez l’homme ou chez l’animal, doivent être manipulés par du personnel qualifié et traités dans des laboratoires convenablement équipés. Lutte antivectorielle Les autres moyens d’endiguer la propagation de la FVR reposent sur la lutte antivectorielle et la protection contre les piqûres. Le traitement larvicide des gîtes de ponte des moustiques est la forme la plus efficace de lutte antivectorielle si ces sites peuvent être clairement identifiés et si leur taille et leur étendue sont limitées. Cependant, en période d’inondation, les gîtes larvaires sont généralement trop nombreux et trop étendus pour qu’un traitement larvicide soit réalisable. Prévisions et modèles climatiques Les prévisions permettent de prévoir les conditions climatiques souvent liées à une recrudescence du risque de flambée, pouvant mener à une amélioration des efforts de lutte contre la maladie. En Afrique, en Arabie saoudite et au Yémen, une corrélation étroite a été observée entre les flambées de FVR et les périodes de précipitations supérieures à la moyenne. Les conséquences de l’augmentation des précipitations sur la végétation peuvent être aisément mesurées et surveillées grâce à la télédétection par imagerie satellitaire. En outre, les flambées de FVR en Afrique orientale sont étroitement associées aux fortes précipitations qui surviennent pendant les phases de réchauffement liées au phénomène El Niño/oscillation australe. Ces observations ont permis de mettre au point des modèles de prévision et des systèmes d’alerte précoce pour la FVR s’appuyant sur l’imagerie satellitaire et les prévisions météorologiques et climatiques. Des systèmes d’alerte précoce de ce type pourraient être utilisés pour détecter les cas animaux à un stade précoce d’une flambée, permettant aux autorités de prendre les mesures nécessaires pour éviter une épidémie imminente. Dans le cadre du nouveau Règlement sanitaire international 2005, la prévision et la détection précoce des flambées de FVR, ainsi qu’une évaluation complète du risque de propagation vers de nouvelles zones, sont essentielles pour permettre la mise en œuvre de mesures efficaces en temps utile. Riposte de l’OMS Dans le cadre de la flambée survenue au Niger en 2016, une équipe nationale et multisectorielle d’intervention rapide, comprenant des membres du Ministère de la santé, des services vétérinaires et du Centre de recherche médicale et sanitaire CERMES, a été déployée par l’OMS le 31 août 2016 pour mener l’enquête sur le terrain. Au Niger, le bureau de pays de l’OMS fournit un appui technique et financier dans les domaines suivants surveillance, enquêtes sur les flambées, directives techniques relatives à la définition des cas, prise en charge des cas, expédition des échantillons et communication sur les risques. La FAO, l’OIE et l’OMS coordonnent leurs actions en matière de santé animale et humaine et apportent un soutien supplémentaire au Niger dans le cadre de la riposte à la flambée. L’OMS collabore avec ses partenaires du Réseau mondial d’alerte et d’action en cas d’épidémie GOARN pour coordonner l’aide internationale consacrée à la riposte. La FICR et l’UNICEF appuient également les efforts de riposte à cette flambée.
Désormais, les sages-femmes pourront vacciner tous les mineurs, à l’exception des jeunes immunodéprimés. Jusqu’à présent, la vaccination se limitait aux femmes enceintes et aux nouveaux-nés. Faire vacciner ses enfants auprès de sages-femmes, c'est désormais possible. Un arrêté est paru jeudi 18 août au Journal Officiel en ce sens. C'est une étape supplémentaire dans l’ouverture de la vaccination par les sages-femmes. Au printemps, elles ont obtenu le droit d’administrer aux femmes enceintes et nouveaux-nés, ainsi qu'à leur entourage immédiat, l'ensemble des vaccins prévus au calendrier vaccinal - notamment ROR rougeole, oreillons, rubéole et DTP diphtérie, tétanos, poliomyélite - et non plus seulement les vaccins contre la tuberculose et l'hépatite B. Désormais, ces prérogatives s'étendent à tous "les mineurs selon les recommandations du calendrier des vaccinations en vigueur", selon l'arrêté. À lire aussi Covid les vaccins à ARN messager sans danger pendant la grossesse Une décision attendue et saluée Le texte suit les recommandations données par la Haute autorité de santé. Fin juin, elle s’était prononcée pour cet élargissement, pour assurer la continuité dans la prise en charge de la naissance à l'adolescence. Cette décision réjouit l’Organisation Nationale Syndicale des Sages-Femmes, le syndicat majoritaire de la profession. Sur Twitter, elle évoque en effet "une grande satisfaction pour les sages-femmes qui ne comprenaient pas les restrictions qui persistaient dans cette pratique qu'elles maitrisent de longue date". Une grande satisfaction pour les sagesfemmes qui ne comprenaient pas les restrictions qui persistaient dans cette pratique qu'elles maitrisent de longue date. Organisation Nationale Syndicale des Sages-Femmes onssf August 18, 2022 Une exception est toutefois prévue les sages-femmes ne pourront pas vacciner les mineurs immunodéprimés quand il s'agit d'un vaccin vivant qui fonctionne à partir d'une version atténuée du microbe. C'est le cas du vaccin ROR, par exemple. Les femmes enceintes concernées aussi L'arrêté de jeudi a par ailleurs élargi d'autres compétences des sages-femmes en matière de les femmes enceintes, elles pourront désormais vacciner contre la rage, le zona ou la fièvre jaune. Là encore, la nouvelle mesure exclut l'administration de vaccins vivants atténués aux femmes immunodéprimées. Ils comprennent ceux contre la fièvre jaune et le zona. L'actu - Les maternités en pénurie de sages-femmes — Le Magazine de la Santé - France 5 Pour ne manquer aucune info santé, abonnez-vous à notre newsletter !
partir au sénégal sans vaccin fièvre jaune